lundi 7 décembre 2009

Ampoules et lampes à LEDs

Les LEDs (Diodes Electro-Luminescentes) : l'éclairage de demain, pas d'aujourd'hui !

Les LEDs sont ces petites 'ampoules' qui garnissent un bon nombre d'appareils électroniques. Depuis quelques temps, elles remplacent les ampoules dans les lampes de poches et de quelques lampes de bureau ou décoratives...

Depuis peu leur puissance augmentent. Leur usage se répand donc petit à petit.

La législation devrait interdire les ampoules classiques, les LEDs sont donc en bonne place pour les remplacer.

Mais le problème est que leur puissance reste insuffisante dans la plupart des cas pour remplacer les usages des ampoules halogènes ou à incandescence...

Ainsi, les lampadaires halogènes qui éclairent un grand nombre de pièces n'ont pas d'équivalent en LED qui rend très difficile leur usage pour un réel éclairage de pièces à vivre autrement que ponctuel. Dans de nombreux cas il est nécessaire d'en associé un grand nombre pour arriver à un semblant de résultat...

Le lampadaire est même en voie de disparition, sauf pour les modèles à ampoule à économie d'énergie (tube en spirale type néon)...

Les vidéo-projecteurs à LED restent limités à cause de la faible puissance (relative) qu'ils proposent.

Les éclairages pour camescopes sont aussi trop limités, il n'est pas encore possible de remplacer une torche dans un usage professionnel ou semi-professionnel...

Les LED ne remplacement pas non plus les flashs même si des téléphones portables ont tenté l'expérience... pour l'abandonner pour les ampoules au Xéon...

Donc on peut dire que la LED est peut être l'éclairage de demain, mais pas celui d'aujourd'hui...

On remarquera simplement que les nouveau téléviseurs plats utilisent les diodes à la place des tubes néons pour le rétro-éclairage. Un petit changement technique qui ne résout pas le problème de l'éclairage tel qu'on pouvait le croire.

mercredi 18 novembre 2009

Vaccins sans adjuvant contre la Grippe A - H1N1

Voici le résultat d'une recherche sur Internet à partir de la liste présente sur l'invitation à se faire vaccinée reçu mi-novembre 2009 (pour une partie de la population) :

Sans adjuvant selon le résultat de la recherche et sans garantie de l'innocuité ou au contraire du danger réel des adjuvants (voire de leurs qualités supplémentaires) :

PANENZA de SANOFI
CELVAPAN de BAXTER

les autres contiennent des adjuvants pour améliorer leur efficacité ou leur conservation :
PANDEMRIX de GSK-GLAXO...
HUMENZA de SANOFI
FOCETRIA de NOVARTIS
CELTURA de NOVARTIS

Tout peut être lu sur la toile, les vaccins sans adjuvant ne serait pas moins efficaces, ni plus, ni moins dangereux, ni plus...

Pour vous simplifier le travail de recherche...

Après de nombreux communiqués sur les problèmes des vaccins et le faible nombre de personnes intéressées, nous devons nous attendre à partir de maintenant à une avalanche d'information contraires sur les risques visant à inciter le public à se faire vacciner.

Alors que les annonces de fermetures d'écoles depuis deux mois sont quasiment restées sans échos dans la presse (vaccins pas prêts ?), maintenant les chiffres cumulés tombent d'un coup !

Alors, intox ou intox contre un virus toxique (et surtout ses complications)...

lundi 19 octobre 2009

Cabinet GFC à l'honneur

AXA Protection Juridique (JURIDICA) a mis à l'honneur le Cabinet GFC dans le dernier numéro de sa 'Lettre Partenaires' dans la rubrique Success Story pour la résolution d'un litige dans le domaine médico-dentaire.

Merci à ce client fidèle.

jeudi 27 août 2009

Grippe : vrai ou faux et conséquences économiques

Grippe A

En cette fin août 2009, doit-on prendre au sérieux les annonces de pandémie annoncée et quelles sont les conséquences envisageables sur l'activité des entreprises.

Il ne s'agit pas de donner un avis de spécialiste que je ne suis pas, mais d'essayer de décrypter les messages et leur impact sur le comportement des acteurs professionnels. En cas de survenue, cet impact serait naturellement modifié.

La peur et ce que cela induit : La Modification des comportements

Aujourd'hui, certains avouent à demi mots les comportements qu'ils envisagent, et certains sont surprenant et assez 'drastiques' : refus d'aller travailler chez des femmes enceintes, refus de se déplacer, refus de fréquenter des endroits publics très fréquentés,...

Ceci s'accompagne de projets ou d'achats de produits d'hygiène (solution désinfectante hydro-alcolique). Pour les entreprises, s'ajoutent des solutions de téléconférence (déjà souvent adoptées pour des raisons de réduction de coûts).

Plans de secours

En dehors de ces projets de modification de comportement, des plans de continuïté sont mis en place dans certaines entreprises. Ces 'plans de continuïté' ou 'plans de secours' devraient exister pour plusieurs situations, et naturellement je me dois d'en parler ici, celle de la déficience de l'informatique.

Ils prennent plusieurs formes : travail dans des conditions de personnels réduits ou des condition de limitations de déplacement ou de réunion.

Ils peuvent dépasser le seul périmètre de fonctionnement de l'entreprise elle-même puisque c'est aussi la clientèle et les fournisseurs qui peuvent être impactés, contrairement à un plan lié à un risque susceptible de ne toucher que l'entreprise.

Mais le contexte est extrêmement incertain dans sa nature et son ampleur. Il est difficile d'en faire le tour...

Solutions techniques

Les solutions de téléconférences déjà évoquées peuvent résoudre des problèmes de déplacements. Elles sont pas très développées, il n'existe pas de norme prédominante et si des entreprise en sont équipées, c'est surtout à usage interne :

Il est difficile de demander à un client de quel matériel et solution il dispose : il doit demander à son service Informatique (ou autre), c'est long, compliqué...

Ceci dit, une entreprise pourrait faciliter ce genre de contact en réservant une pièce équipée et en mettant à disposition de tous les services et partenaires les informations techniques nécessaires.

Des solutions de base, utilisant des services externes connus, pourraient se contenter d'un ordinateur avec connexion Internet, Webcam et haut-parleurs...

Plus efficace, une solution avec vidéo-projecteur, caméra de meilleure qualité et système de téléphonie (voir de tableau blanc et de travail collaboratif) peut être installé sans grande difficulté par un service informatique.

... Mais il n'est pas dans les mentalités de faciliter le travail des fournisseurs ou fournisseurs potentiels : une entreprise s'attend à un effort "commercial" qui va jusqu'à gérer l'infrastructure des présentations par exemple...

... Pourtant, l'entreprise cliente n'a pas plus intérêt à générer des déplacements des tiers vers ses locaux que d'envoyer ses collaborateurs à l'extérieur : les virus n'ont pas d'employeurs !

Crise + Grippe = Ca Coince

La crise a sans nul doute entraîner des compressions de personnels. Les fournisseurs et les entreprises en générale tourne déjà avec un personnel disons 'minimal'. Une défaillance supplémentaire et c'est le fonctionnement qui s'en trouve altéré : les fournisseurs ne sont pas disponibles pour effectuer des interventions de réparation ou de maintenance.

Sinistres et Assurances

Un ralentissement et c'est la perte d'exploitation qui en fait les frais. L'organisation et la gestion des dossiers en patissent. La commercialisation se ralentie, les frais augmentent,...

Pourquoi cette angoisse du risque entretenu ?

La communication du gouvernement est anxiogène sans être réellement pratique à l'exception de quelques rares conseils et initiatives comme la fermeture des écoles et son remplacement par des programmes télévisés.

Rassurant ?

lundi 13 juillet 2009

Le futur des Virus et logiciels espions (Spyware)

Les appareils indiscrets

Les appareils multifonctions comme les téléphones mobiles de dernières générations peuvent nous laisser imaginer ce que pourront être les logiciels expions de la prochaine génération...

La version 3 du système d'exploitation de l'iPhone et quelques uns des logiciels de l'AppStore nous montrent ce qu'est capable de faire un téléphone : donner sa position s'il est volé, enregistrer la voix, prendre des photos et des films, évidemment intercepter tout ce que son clavier saisi et les sites visités, accéder aux mails et aux services de chat et de messagerie en ligne, les numéros composés et le contenu des conversations,...

Imaginons maintenant un logiciel attractif, proposé gratuitement et qui passerait le barrage du filtrage de l'AppStore... Imaginons que ce logiciel apparemment banal, pourquoi pas un jeu ou un petit utilitaire, se mettent à utiliser toutes les fonctions disponibles de l'appareil pour les récupérer : enregistrer votre voix, récupérer vos images, votre position, vos mails, vos codes,... et envoyer tout cela par le réseau chez les pirates...

Une limitation de l'appareil est l'absence de multitâche. Ceci pourrait limiter l'accès à certaines donnée mais le problème peut être contourné : il suffit que l'application remplisse la fonction à espionner ou récupère les données enregistrées...

Les autres Smartphones ne sont pas à l'abri, au contraire : le nombre d'applications du iPhone déjà disponible limite les chances d'atteindre une vaste clientèle, alors que se présenter en premier sur un nouveau système augmente les chances...

Imaginez-vous en caméra ambulante écouté tant que votre appareil est allumé et à portée de voix...

Simple imagination ?

Pas vraiment : il existe sur le marché des téléphones vendus très chers pour espionner. Le principe est simple et certains appareils standards sont capable de faire la même chose sans avoir besoin de débourser une somme aussi importante grâce à un paramétrage habile.

Inutile d'aller plus loin ici pour ne pas donner trop d'idées mais c'est pourtant si simple...

lundi 15 juin 2009

La VoIP (ou ToIP) est-elle rentable ?

VoIP : Voix sur Internet
ToIP : Téléphonie sur Internet

Le principe qui se cache sous ces sigles est d'utiliser Internet à la place du réseau téléphonique. Il permet de transporter la voix au coût de la connexion Internet, donc presque gratuitement si l'on considère que la connexion Internet entre déjà dans les frais fixes et est forfaitaire (ce qui n'est plus tout à fait vrai pour une grosse structure).

Limitation

Il ne faut bien sûr pas oublier que ce système permet, à la base, de téléphoner uniquement entre poste reliés à Internet, par d'Internet à un poste fixe. Heureusement des sociétés proposent des systèmes de passerelles entre les deux réseaux comme Skype. La communication utilise Internet jusqu'au pays ou à la ville de destination et utilise ensuite le réseau téléphonique au tarif local ou national.

Le coût des communications locales étant en chute depuis longtemps, la communication reste à un coût très bas. Ainsi, les communications internationales sont gratuites vers de nombreuses destinations lorsque l'on dispose d'un abonnement ADSL. Utiliser une ligne ADSL dégroupée revient à utiliser de la Voix sur IP de chez soi (c'est le rôle de la Box Internet).

Le matériel

Que faut-il pour créer un réseau téléphonique sur IP ?

Il faut donc des postes VoIP sur Ethernet ou PoE, Power On Ethernet (Ethernet accompagné de courant pour alimenter les postes), mais aussi un 'routeur' faisant office de central téléphonique.

Les Hics !

Le problème actuel est que les grand constructeur, qui gagnent leur vie avec le matériel, vendent ces 'routeurs' et ces appareils téléphoniques spécialisés à un prix proche de celui des installations classiques...

De plus, partageant le réseau et une partie du matériel informatique, les pannes sont plus fréquentes la qualité de la communication peut se dégrader avec une saturation du réseau.

Si vous avec un tant soit peu d'expérience des plateformes téléphoniques (prospection commerciale, supports techniques,...) qui sont souvent à l'étranger, vous constatez parfois une qualité de son dégradée... Les prochaines années ne devraient pas être meilleures avec le passage sur Internet de société basées en France de nombreuses entreprises qui présenteront des pannes de téléphones à une fréquence oubliée depuis longtemps.

Sans compter les phases de passage d'un réseau à l'autre.

La sécurité peut aussi être un sujet à aborder. L'utilisation indue des ressources de communication par Piratage devient possible. Il est possible d'envisager une intrusion dans le réseau informatique par le biais du réseau téléphonique. L'écoute des conversations devient aussi facile que celui des transmissions par Internet (en théorie, une communication entre deux sites pourtant proches peut transiter par n'importe quel point du monde)...

Conclusion

Il existe pourtant des avantages au niveau de l'infrastructure, un seul réseau Ethernet (en théorie), des services nouveaux comme la possibilité de re-router les appels avec une grande facilité partout dans le monde et sur tous les réseaux...

La sécurité théorique qui est à la base d'Internet et qui permet au réseau de continuer à fonctionner même en cas de coupure d'une voie de communication devient aussi utilisable pour la téléphonie.

Les centraux téléphoniques sont déjà numériques depuis plusieurs années avec les lignes RNIS (NUMERIS). La mutation est donc largement entamée et presque généralisée aux Etats-Unis par exemple.

Mais actuellement, le gain pour une entreprise n'est pas encore flagrant. Remplacer simplement ses postes téléphoniques par des postes numériques connectés au réseau informatique et jeter son central téléphonique (en souscrivant tout de même à un service qui assure la passerelle en entrée comme en sortie) n'est pas encore une solution possible.

mercredi 10 juin 2009

Incompatibilité iWeb et FireFox 3

Incompatibilité des Galeries Photos de iWeb avec FireFox 3

Le créateur de site internet d'APPLE, livré avec les Macintosh dans la Suite iLife, n'est plus compatible avec la nouvelle version 3 du navigateur gratuit FireFox...

Le problème ne serait la faute ni de l'un, ni de l'autre... mais ni l'un ni l'autre n'a cherché à modifier son logiciel pour contourner le problème.

Le Danger des Proxy gratuits ou Free Proxys

Qu'est-ce qu'un Proxy ?

Rapidement, car il existe de nombreuses sources détaillées, un proxy est un Serveur qui s'intercale entre Internet et des utilisateurs (une entreprise par exemple). Ce Serveur reçoit les requêtes des utilisateurs et renvoie la page demandée s'il l'a gardé en mémoire après une précédente demande ou transmet la demande de chargement de la page au Serveur qui la propose s'il ne l'a pas.

Le Proxy fait gagner du temps car il répond rapidement sans utiliser le réseau aux pages les plus demandés.

Il a un autre avantage...

Du point de vue du Serveur consulté, la requête émise par le demandeur semble provenir du Serveur Proxy, pas de l'internaute... L'internaute devient donc anonyme. Il n'est plus possible de vous localiser alors que votre adresse IP permet de connaître souvent votre position à quelques kilomètres près.

D'où son intérêt pour les utilisateurs à la recherche de confidentialité... par exemple ceux craignant le vilain HADOPI...

Les dangers

Des Serveurs Proxy gratuits voient le jour. Ils répondent à la demande, comme décrit précédemment.

Mais il faut savoir que ce Serveur sert d'intermédiaire entre l'utilisateur et le Net pour son trafic de données. Ainsi, il peut voir le contenu de tous les échanges... et même le modifier. C'est le contraire d'un FireWall, c'est un passage par une zone à risque...

Il est donc possible à un Serveur Proxy de vous renvoyer des pages modifiées (insertions publicitaires au mieux, modules utilisant les failles de sécurité de votre système au pire), de récupérer les données des formulaires ou, pourquoi pas, vous envoyer un fichier (virus) alors que vous pensez en télécharger un autre...

Voilà un effet technique nuisible de l'HADOPIre (que le problème)...

mercredi 20 mai 2009

Ecran noir sur iPhone, impossible de raccrocher

iPhone bloqué e communication, impossible de raccrocher

Des forums indiquent que des utilisateurs indiquent qu'ils ne peuvent pas raccrocher leur iPhone 3G en fin de communication.

Les réponses à ce problème se trouvent éparpillées sur le Web. Je vous propose une synthèse.

APPLE indique que l'appareil comporte des détecteurs de lumières capables de savoir si l'appareil est collé à l'oreille pendant une communication (et par ailleurs, pour régler la luminosité). Il est indiqué que les capteurs sont visibles par forte lumière : effectivement, en ôtant les étuis et autres protections d'écran on peut voir trois ronds en haut, à la gauche de l'écouteur.

L'iPhone désactive l'écran tactile pour éviter que la joue ou l'oreille ne déclenche des actions involontaires et éteint l'écran pour économiser l'énergie de la batterie.

Or, une fois éloigné de l'oreille, l'iPhone ne semble parfois pas capable de détecter la lumière et reste bloqué. L'appui sur des boutons permettraient de raccrocher (à vérifier), sinon il faut attendre que l'interlocuteur raccroche... si vous n'êtes pas en train de parler à un répondeur automatique ou à un service vocal par exemple...

Le capteur serait donc gêné par les étuis qui masquerait la zone autour de l'écouteur ou même par la présence d'une protection écran, qui, quelque fois, s'ajoute à la protection transparente de l'étui.

Une première solution consiste donc à découper l'angle en haut à gauche, sur 1,5 cm de côté pour éviter un écran de trop sur les capteurs. Si votre étuis est opaque à cet endroit, il faudra prendre une mesure radicale de découpe ou de remplacement...

Si l'étui comporte un plastique transparent sur l'avant, il est possible qu'une seule épaisseur ne soit pas un obstacle suffisant pour créer le problème...

Faites part de vos résultats...

vendredi 15 mai 2009

Mesures pour contrer la loi HADOPI : Plus vite que la musique !

Contournement de la loi HADOPI : déjà des parades spécifiques

On le savait, les solutions de contournement existaient déjà, elles étaient utilisées pour déjouer les pare-feux (FireWalls), pour contourner les restrictions d'accès au Web en entreprise, pour naviguer anonymement pour diverses raisons,...

D'autres solutions étaient marginalement utilisées pour contourner quelques limitations, comme l'enregistrement d'émissions diffusés par Internet (radios, émissions de télévision,...).

Mais leurs utilisations spécifiques pour contrer la loi HADOPI sont déjà en route... avant même la mise-en-place des mesures liées à l'application de la loi...

En examinant bien, on pourrait même y voir un certains vice dans la recherche de solutions techniques à des problèmes qui n'existent pas, comme l'enregistrement de musique sur des sites qui la diffuse à la demande...

Ne serait-ce pas simplement pour embêter le législateur ...?

Il tout de même vrai que la loi a un avantage : l'embarras du choix dans les solutions de contournement...

Et, pour le répéter, ces multiples possibilité pourront être utilisées à mauvais escient. Effet, pervers, la loi HADOPI va rendre accessible à tout le monde les méthodes autrefois complexes ou peu commentées des vrais pirates du Web.

mercredi 13 mai 2009

Ecran noir sur iPhone, impossible de raccrocher

Ecran noir sur iPhone, impossible de raccrocher, clavier bloqué

Bonjour,

Il y a un capteur de lumière qui bloque le clavier lorsque le téléphone est à l'oreille sur l'iPhone.

Donc il ne sort pas de veille s'il ne détecte pas de lumière lorsqu'on l'éloigne de l'oreille...

Avec un étuis de protection et peu de lumière, il peut ne pas se débloquer.

Le capteur serait en haut à gauche, peu visible sauf sous très forte lumière et sans protection qui gêne.

Essayez d'orienter votre appareil vers de la lumière...

Je teste cette solution en ce moment...

mardi 12 mai 2009

Les effets pervers de la loi HADOPI 2

Les effets pervers de la loi HADOPI

Et maintenant, que va-t'il se passer ?

Comme on le sait, toute lutte amène à trouver une parade à l'initiative mise en place par l''adversaire'... C'est le jeu du "chat et de la souris", c'est une sorte de loi de la nature et certainement de la 'nature du monde informatique et d'Internet'...

Perte de revenu pour l'industrie de la création

Contourner la loi va donc amener des sociétés à contourner les mesures prévues par des moyens techniques simples, connus et efficaces. Ces services seront payants ou attireront de l'argent de la publicité, qui sera perdu pour l'industrie de la création... Un coup dans l'eau et une nouvelle perte...

Porte ouverte aux criminels

Pire, l'anonymisation des échanges, pour éviter d'être repéré, bénéficiera aux vrais délinquants qui auront à leur disposition des solutions nombreuses et variées de commettre des délits plus graves : échanges d'images ou de vidéos à caractère nuisible voire dangereux...

Les sites gratuits seront très prisés et pourront servir à la diffusion de virus et autres logiciels malveillants et d'espionnage.

Preuve d'incompétence et d'incapacité des gouvernements

Plus symbolique, cet exemple nous donne une idée de ce qu'un gouvernement peut adopter comme solution technique (inefficace) à un problème réel.

Pour aller plus loin, la guerre 'numérique' dont la menace plane, ou plus simplement la délinquance sur Internet, ne semblent pas pouvoir être anticipée d'une façon sérieuse avec de telle mesures.

La faiblesse du nombre de nos 'Cert' est aussi un signe de notre impréparation.

Les effets pervers de la loi HADOPI 1

Les dangers de la loi HADOPI et le manque de réflexion technique

Le but n'est bien sûr pas de justifier le piratage des œuvres immatérielles mais de réfléchir aux réels enjeux et aux effets pervers de la loi, sur le plan de la sécurité en particulier, que la loi cherche aussi à renforcer...

Le sujet de l'inefficacité de la méthode adoptée n'est pas, non plus, l'objet de ce post.

Le but recherché ?

L'industrie de l'audiovisuel cherche à protéger ses revenus et ses droits, ce qui est plus que légitime. Ses 'lobbyistes' avancent donc des chiffres monstrueux, comme le font ceux du 'Luxe' pour la contrefaçon d'objets 'physiques'.

Si la question principale est de protéger un droit sans implication financière, la demande et les chiffres en quantité sont une indication du 'préjudice moral'... Mais si le but est de préserver ses revenus, des questions plus précises doivent se poser avant d'avancer des chiffres en Milliards...

- Est-ce que tous les 'pirates' auraient payé les œuvres téléchargées ?

- Est-ce que les 'pirates' auraient pu payer pour obtenir ce qu'ils souhaitent ? Existe-t'il un moyen légal d'obtenir facilement ce qui est téléchargeable illégalement ? (vieux films, musiques non rééditées,...) ?

- Est-ce que tout ce qui est échangé a une valeur réelle : si un film est diffusé ce soir, que j'ai le choix entre l'enregistrer avec ma 'box' Internet ou la télécharger demain en Peer-To-Peer, ai-je fait perdre de l'argent aux ayant-droits ? Ai-je le moyen d'enregistrer plus facilement qu'en allant programmer ma 'box', par mon ordinateur, quitte à payer ce service ? (la réponse est non, les sites, comme Wizzgo et NouvelObs, qui le proposaient ont été contraints de fermer, souvent sous la pression de M6 et de TF1 entre autres).

- Si je n'ai pas le droits de télécharger ou de faire enregistrer par un service cette émission, pour laquelle je paye la redevance pour certaines, pourquoi sont-elles parfois disponibles en ligne pendant quelques jours sur les sites des chaînes (M6, Arte,...) ? Pourquoi m'obliger à voir leur publicité en allant sur leur site, chacun avec ses problèmes techniques de compatibilité, alors qu'il suffirait d'imposer de laisser les publicités qui sont enregistrées avec l'émission ?

- Question fondamentale : Y-a-t'il une différence entre un particulier qui télécharge et laisse les autres télécharger gratuitement un film (le principe du Peer-To-Peer) et les sites qui gagnent de l'argent avec ce système : éditeurs de logiciels, sites de liens remplis de publicités, voire de virus, sites de téléchargements payants,... ?

- Quelle différence pour le consommateur entre le paiement de la fameuse licence globale (payer un forfait pour un téléchargement illimité) et de payer pour un téléchargement 'pirate' illimité ?

Pour les ayants droits qui refusent cette solution, la perte est claire : 100 % du marché !

De plus, les utilisateurs prêts à payer pour un téléchargement illimité pirate sont des clients qui sont prêts à payer pour des œuvres. Ce sont les vrais clients. Une immense partie des téléchargements ne correspondent pas à des besoins pour lesquels les 'pirates' sont prêts à payer. On peut même démontrer qu'une bonne partie de ce qui est téléchargé n'est pas regardé...

dimanche 12 avril 2009

Faire une copie de sauvegarde de MICROSOFT OFFICE OfficeReady

Faire une copie de sauvegarde de MICROSOFT OFFICE OfficeReady 2007

Tout d'abord, qu'est-ce que la version Office Ready 2007 de MICROSOFT ?

L'éditeur Américain le plus célèbre a passé un accord avec des constructeurs d'ordinateurs (comme HEWLETT PACKARD par exemple), pour qu'une version d'évaluation du logiciel soit pré-installée sur le disque dur des ordinateurs vendus.

Le nouveau propriétaire, s'il n'a pas commandé à son fournisseur les logiciels avec sa machine, dispose de 60 jours d'essai gratuit de la version professionnelle (la plus complète, avec ACCESS notamment) de la 'Suite' (nom que l'on donne à un ensemble de logiciels) OFFICE.

Il peut ensuite décider d'acquérir une licence sous la forme d'un numéro de série et d'un certificat d'authenticité de l'une des version d'Office : BASIQUE, PME ou PROFESSIONNELLE (pas les versions pour les particuliers).

Dans ce cas là, aucun support CD ou DVD ne lui est fourni. Il faut donc savoir qu'il est possible de se rendre sur la page :
http://www.microsoft.com/office/backup
pour télécharger, au moyen de son numéro de série de son logiciel, une copie de sauvegarde à graver sur un CD ou un DVD.

Il est aussi possible de commander un DVD pour les seuls coûts de logistique.

Ensuite, précaution, INDISPENSABLE : stocker une ou mieux, deux copies de l'ensemble logiciels + numéro de série à deux endroits différents pour éviter de les perdre en même temps que la machine... et ne pas les perdre.

Cette procédure n'est pas systématiquement indiquée par les vendeurs, qui devraient vous donner ces conseils, mais qui se contentent de revendre une licence en cas de problème...

jeudi 26 février 2009

Rappel de certains CANON 5D problème de miroir

CANON annonce le rappel d'appareil de type 5D (remplacé récemment par le 5D Mark II)

Le problème viendrait de l'adhésif qui pourrait laisser se détacher le miroir de visée principal (un autre plus petit se trouve derrière) :

http://www.canon.fr/Support/Consumer_Products/products/cameras/Digital_SLR/EOS_5D.aspx?faqtcmuri=tcm:79-623626&page=1&type=important

Ce qui pourrait paraître comme causé par un choc accidentel est donc un problème pouvant être pris en charge par la garantie du constructeur.

Bon à savoir.

jeudi 15 janvier 2009

Choix d'un enregistreur audio : MARANTZ PMD620

Choisir un enregistreur numérique portable

Pour de multiples usages, un enregistreur sonore numérique peut être utile.

Il y a quelques années, le choix se portait sur un appareil à cassettes, de petit ou grand format. Il y avait des appareils de différentes qualités.

Le numérique a tué les cassettes ou presque : aujourd'hui, les modèles d'enregistreurs de cassettes portables sont très peu nombreux et les enregistreurs numériques 'dictaphones' numériques sont d'une qualité limitée.

Une nouvelle gamme de produit est apparu il y a quelques années à peine pour les musiciens amateurs, venant se substituer au MiniDisc de SONY, AIWA et PANASONIC essentiellement, qui restait la seule solution d'enregistrement d'une certaine qualité accessible aux amateurs.

Aujourd'hui de nombreux modèles existes entre 200 € et 450 € environ.

Le choix doit donc se faire entre des dictaphone de mauvaise qualité sonore, aux formats d'enregistrement parfois spécifiques et ces appareils de très bonne qualité, trop pour la voix souvent.

Voici le 'post' que j'ai rédigé sur le site spécialisé dans la photo du 'podcasteur' Benoît MARCHAL :
http://www.declencheur.com/photo/wikinews/Nom-de-page/
(merci de me signaler si le nom de cette page changeait, ce qui est prévu).